Nos débuts en Normandie passent par une petite ville mondialement connue pour son savoir-faire aux accents musicaux : Vielledieu-les-Poêles. En effet, encore aujourd'hui, les cloches de nombreuses églises sont fondues en respectant un savoir-faire de plus de 200 ans.
Puis, l'ancêtre Morin étant originaire de Granville, Roger tient à venir voir ce coin de pays. On ne peut pas y retrouver grand chose de 1650. Même la petite église, Notre-Dame de Lihou. a connu quelques restaurations et modifications.
Par contre, maintenant premier port coquillier de France, les installations portuaires de Granville sont importantes. À l'époque, Granville était, avec St-Malo, le point de départ des pêcheurs à la morue qui se rendaient sur les côtes de Terre-Neuve pour un voyage de 5-6 mois. Granville a une âme festive puiqu'elle accueille 6 festivals par an, dont un carnaval.
Que de beauté et de douceur de vivre sont dévoilées à la vue des immenses plages de Normandie! D'autre part, la simple évocation des plages de Normandie rappelle immanquablement les pires horreurs que l'humanité puisse connaître : la guerre. Notre parcours se continue donc par des sentiers portant les cicatrices des horreurs du siècle dernier. Certains de ces événements nous sont abondamment rappelés :
- à Ste-Mère Église, un parachutiste reste accroché au clocher, la nuit du débarquement du 6 juin 1944;
- à la Pointe du Hoc, les rangers ont fait l'ascension d'une falaise haute de 30 mètres, sous le feu des allemands;
- Ohama Beach, les rangers y ont perdu la plus grande portion de leurs effectifs.
Heureusement, il y a de belles découvertes dans un périple! C'est ce qui nous attendait à Bayeux avec les Médiévales. La foule était nombreuse mais bien vivante et festive.
Encore cette fois, les photos se retrouvent sous l'album du même titre
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